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Merryl M

explorateur sonore

Depuis l'âge de 16 Ans, période de ses débuts musicaux, Merryl M n'a eu de cesse d'explorer.

 

D'abord les genres musicaux: il fut batteur dans divers groupes durant 10 ans, chanson-rock, métal, skate-core, folk-rock, punk, post-rock.

 

Ensuite, les instruments, en se mettant à composer: piano (pendant longtemps, seul instrument dont il ait pris des cours, pendant 4 ans), guitare, trompette (actuellement, seul instrument dont il prenne des cours) et, plus anecdotiquement, doudouk, charango, quena, carillon, rebab, kayambe, tepotzlan...

 

Parallèlement, il a commencé à se former au chant auprès de Marianne Molina, afin de porter ses compositions sur la scène, et continue de travailler sa voix, seul, en auto-critique de ses prestations filmées, puis avec une comédienne, Sophie Sorret, en 2014.

 

Véritable amoureux des instruments, tant en terme de possibilités de sonorités que d'objets manufacturés, il est continuellement à l'affût de la nouvelle trouvaille qui viendra un peu plus remplir la pièce où il travaille.

 

En collaborant avec Didier Beauvalet, qui fut son formateur en techniques du son, il s'est ouvert une nouvelle perspective d'exploration, inépuisable, puisque le postulat en est que tout objet, du quotidien ou non, est sonore, et peu donc devenir musical.

 

Ainsi sont nés:

le duo Lulubelle, formé avec Didier Beauvalet, exploration et détournements de jouets autour de l'emblématique et universelle boîte-à-meuh;

 

la performance sonore et visuelle "Le beau son littéraire du bouchon qui sonne clair", succession de moments musicaux élaborés à partir de livres et d'objets ayant trait au monde du vin, et dont le nom évoque celui de l'établissement qui l'a inspirée;

 

Michel Diaouate et son "Surréalisme du quotidien" dont le réel but, à peine voilé par la blondeur et la grandiloquence de ce personnage improbable, est la sensibilisation du public à l'environnement sonore, que ce soit le chant des oiseaux ou le bruit du trafic.

Plus récemment, Merryl M a approfondi son goût pour la musique à l'image, domaine qu'il développe progressivement, au grès des réalisations "amicales" et de participations à des concours.

 

"Il n'est pas rare, pour qui prend le temps d'écouter, de percevoir un agencement des éléments, une mise en place rythmique et mélodique, comme un chef d'orchestre qui dirigerait le merle qui chante, la mobylette qui passe et le chien qui aboit ou les cloches qui sonnent, jouant une symphonie continuellement renouvelée, dans tout moment ou acte ordinaire."

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